"Lalangue", ce néologisme, présenté au tableau par Lacan lors son séminaire « Le Savoir du psychanalyste » (en alternance avec …Ou Pire, livre XIX), à La Chapelle de Sainte-Anne, signifie que l’acte psychanalytique, joue, par la vertue du « Transfert », sur une dysorthographie calculée, un agrammatisme décidé, et une prolifération de néologismes sans fin (789 inventés par Lacan en son temps) mais, dont aucun n’est passé dans la langue française à ce jour). Il ajoute en plus, qu’il n’y a pas de noeud dans la nature (notamment dans le corps), en conséquence de quoi, dés que l’on découvre un noeud, quelque part sur la planète, on est sûr que l’on a à faire avec des « Zumains ». Du coup il faut dire bye-bye à connaître l’origine du langage, lequel pour nous est là depuis toujours et sera là après notre mort. Du coup, il peut prédire que l’avenir de la psychanalyse ne sera pas mathématique, dès son Séminaire Encore (livre XX). Ce qui ne l’empêchera pas d’explorer jusqu’à l’épuisement la triplicité borroméenne, soit lévogyre ou soit dextrogyre, par leur nouage entre la Science, la Psychanalyse (la vraie pas la fausse de l’IPA) et la Religion ( La Catholique Romaine« la vraie selon elle-même »). Ainsi : - SIR : La Science : Symbolise les Images qu’elle se donne du Réel (SIR). - IRS : La Psychanalyse: Invente (ou Imagine), ce qui du Réel pourrait se symboliser (IRS). - RSI : La Religion:, «Réalise"( avec l’hostie- soit le corps du Christ, et le vin son sang) ce qui du Symbolique (La voix du Saint-Esprit) peut s’imaginer de Dieu qui « êtes aux cieux"(RSI). Patrick Valas